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NOM

       netlink – Communication entre noyau et espace utilisateur (AF_NETLINK)

SYNOPSIS

       #include <asm/types.h>
       #include <sys/socket.h>
       #include <linux/netlink.h>

       netlink_socket = socket(AF_NETLINK, type_socket, famille_netlink);

DESCRIPTION

       Netlink  sert  à  transférer  des  informations  entre  les modules du noyau et les processus de l'espace
       utilisateur. Il consiste en une interface standard basée sur les sockets pour  les  processus  en  espace
       utilisateur  et  d'une API interne du noyau pour les modules du noyau. Cette interface du noyau n'est pas
       documentée dans cette page de manuel. Il existe  aussi  une  interface  netlink  obsolète  utilisant  les
       périphériques caractère netlink, fournie uniquement pour rétrocompatibilité et non documentée ici.

       Netlink  est  un  service  orienté  datagramme.  Les  deux  types SOCK_RAW et SOCK_DGRAM sont des valeurs
       possibles pour type_socket. Toutefois,  le  protocole  netlink  ne  distingue  pas  les  sockets  raw  et
       datagramme.

       famille_netlink  sélectionne  le  module du noyau ou le groupe netlink avec qui communiquer. Les familles
       netlink actuellement déterminées sont :

       NETLINK_ROUTE
              Réception des modifications de routage et de lien et utilisation possible pour mettre à  jour  les
              tables  de  routage (IPv4 et IPv6), les adresses IP, les paramètres de lien, les configurations de
              voisinage, les politiques d'ordonnancement, les  classes  de  trafic  et  les  classificateurs  de
              paquets (consultez rtnetlink(7)).

       NETLINK_W1 (Linux 2.6.13 to Linux 2.16.17)
              Messages du sous-système 1-Wire.

       NETLINK_USERSOCK
              Réservé pour les protocoles de socket dans l'espace utilisateur.

       NETLINK_FIREWALL (jusqu’à Linux 3.4 inclus)
              Transport  des paquets IPv4 de netfilter vers l’espace utilisateur. Utilisé par le module de noyau
              ip_queue. Après une longue période pendant laquelle il a été considéré comme obsolète  (en  faveur
              de la fonctionnalité plus moderne nfnetlink_queue), NETLINK_FIREWALL a été retiré dans Linux 3.5.

       NETLINK_SOCK_DIAG (depuis Linux 3.3)
              Recherche  d’informations  sur  les sockets de diverses familles de protocoles du noyau (consultez
              sock_diag(7)).

       NETLINK_INET_DIAG (depuis Linux 2.6.14)
              Synonyme obsolète pour NETLINK_SOCK_DIAG.

       NETLINK_NFLOG (jusqu’à Linux 3.16 inclus)
              Messages ULOG de netfilter/iptables.

       NETLINK_XFRM
              IPsec.

       NETLINK_SELINUX (depuis Linux 2.6.4)
              Notifications d'événements SELinux.

       NETLINK_ISCSI (depuis Linux 2.6.15)
              Open-iSCSI.

       NETLINK_AUDIT (depuis Linux 2.6.6)
              Audit.

       NETLINK_FIB_LOOKUP (depuis Linux 2.6.13)
              Accès à la recherche dans la FIB depuis l'espace utilisateur.

       NETLINK_CONNECTOR (depuis Linux 2.6.14)
              Kernel         connector.         See          Documentation/driver-api/connector.rst          (or
              /Documentation/connector/connector.*  in  Linux  5.2 and earlier)  in the Linux kernel source tree
              for further information.

       NETLINK_NETFILTER (depuis Linux 2.6.14)
              Sous-système netfilter.

       NETLINK_SCSITRANSPORT (depuis Linux 2.6.19)
              Transports SCSI.

       NETLINK_RDMA (depuis Linux 3.0)
              RDMA Infiniband.

       NETLINK_IP6_FW (jusqu’à Linux 3.4 inclus)
              Transport des paquets IPv6 de netfilter vers l'espace utilisateur. Utilisé  par  le  module  noyau
              ip6_queue.

       NETLINK_DNRTMSG
              Messages de routage DECnet.

       NETLINK_KOBJECT_UEVENT (depuis Linux 2.6.10)
              Messages du noyau vers l'espace utilisateur.

       NETLINK_GENERIC (depuis Linux 2.6.15)
              Famille netlink générique pour une utilisation simplifiée de netlink.

       NETLINK_CRYPTO (depuis Linux 3.2)
              Interface  netlink  pour obtenir des informations à propos des chiffrements enregistrés avec l’API
              de chiffrement du noyau et pour permettre la configuration de l’API Crypto du noyau.

       Les messages netlink consistent en un flux d'octets  avec  un  ou  plusieurs  en-têtes  nlmsghdr  et  les
       contenus  associés.  Le  flux  d'octets  ne  doit  être accédé qu'à travers les macros standards NLMSG_*.
       Consultez netlink(3) pour plus d'informations.

       Pour les messages multiparties, (plusieurs en‐têtes nlmsghdr avec contenus associés  dans  un  même  flux
       d'octets),  tous  les  en-têtes  ont  l'attribut NLM_F_MULTI actif, sauf le dernier en-tête qui a le type
       NLMSG_DONE.

       Le contenu suit chaque nlmsghdr.

           struct nlmsghdr {
               __u32 nlmsg_len;    /* Longueur du message en-tête compris. */
               __u16 nlmsg_type;   /* Type de contenu du message. */
               __u16 nlmsg_flags;  /* Attributs supplémentaires. */
               __u32 nlmsg_seq;    /* Numéro de séquence. */
               __u32 nlmsg_pid;    /* Identifiant du port émetteur. */
           };

       nlmsg_type can be one of the standard message types: NLMSG_NOOP message is  to  be  ignored,  NLMSG_ERROR
       message  signals an error and the payload contains an nlmsgerr structure, NLMSG_DONE message terminates a
       multipart message. Error messages get the original request appended, unless the user requests to cap  the
       error message, and get extra error data if requested.

           struct nlmsgerr {
               int error;        /* Negative errno or 0 for acknowledgements */
               struct nlmsghdr msg;  /* Message header that caused the error */
               /*
                * followed by the message contents
                * unless NETLINK_CAP_ACK was set
                * or the ACK indicates success (error == 0).
                * For example Generic Netlink message with attributes.
                * message length is aligned with NLMSG_ALIGN()
                */
               /*
                * followed by TLVs defined in enum nlmsgerr_attrs
                * if NETLINK_EXT_ACK was set
                */
           };

       Une  famille  netlink  contient  généralement  plus  de  types  de message, consultez les pages de manuel
       appropriées, par exemple rtnetlink(7) pour NETLINK_ROUTE.
       Bits d’attribut standard dans nlmsg_flags
       ──────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────
       NLM_F_REQUEST               À positionner pour tous les messages de requête.
       NLM_F_MULTI                 Le message est une partie d’un message multipartie terminé par NLMSG_DONE.
       NLM_F_ACK                   Requête d’un acquittement en cas de réussite.
       NLM_F_ECHO                  Répéter cette requête.
       Bits d’attribut supplémentaires pour les requêtes GET
       ──────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────
       NLM_F_ROOT                       Renvoyer toute la table plutôt qu'une seule entrée.
       NLM_F_MATCH                      Renvoyer toutes les entrées correspondant au critère passé dans le
                                        contenu du message. Pas encore implémenté.
       NLM_F_ATOMIC                     Renvoyer un instantané atomique de la table.
       NLM_F_DUMP                       Macro pratique ; équivalente à (NLM_F_ROOT|NLM_F_MATCH).

       Notez que NLM_F_ATOMIC nécessite la capacité CAP_NET_ADMIN ou un UID effectif de zéro.
       Bits d’attribut supplémentaires pour requêtes NEW
       ──────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────────
       NLM_F_REPLACE                   Remplacer l'objet existant correspondant.
       NLM_F_EXCL                      Ne pas remplacer l'objet s'il existe déjà.
       NLM_F_CREATE                    Créer un objet s'il n'existe pas déjà.
       NLM_F_APPEND                    Ajouter à la fin de la liste d'objets.

       nlmsg_seq et nlmsg_pid sont utilisés pour suivre les messages. nlmsg_pid montre l'origine du message. Re‐
       marquez qu'il n'y a pas de relation d'équivalence entre nlmsg_pid et le PID du processus  si  le  message
       vient d'un socket netlink. Consultez la section FORMAT D'ADRESSE pour plus d'informations.

       nlmsg_seq et nlmsg_pid sont opaques pour le noyau de netlink.

       Netlink n'est pas un protocole fiable. Il fait de son mieux pour conduire les messages à destination mais
       peut abandonner des messages s'il n'a pas assez de mémoire ou si une erreur se produit. Pour un transfert
       fiable,  l'émetteur  peut  demander un acquittement au récepteur en activant l'attribut NLM_F_ACK. Un ac‐
       quittement est un paquet NLMSG_ERROR avec le champ erreur à zéro. L'application doit envoyer des  acquit‐
       tements  pour les messages elle-même. Le noyau essaie d'envoyer un message NLMSG_ERROR pour chaque paquet
       défectueux. Le processus utilisateur doit aussi suivre cette convention.

       Cependant, garantir des transmissions fiables entre le noyau et l'espace utilisateur est  impossible.  Le
       noyau ne peut pas envoyer de message netlink si le tampon du socket est plein : le message sera abandonné
       et  le  noyau  et  le processus utilisateur n'auront pas la même information sur l'état du noyau. C'est à
       l'application de détecter cette condition (via l'erreur ENOBUFS renvoyée par recvmsg(2)) et de resynchro‐
       niser.

   Formats d'adresse
       La structure sockaddr_nl décrit un client netlink dans l'espace utilisateur ou dans le noyau. Une sockad‐
       dr_nl peut être soit unicast (un  seul  destinataire)  soit  envoyée  à  des  groupes  multicast  netlink
       (nl_groups différent de 0).

           struct sockaddr_nl {
               sa_family_t     nl_family;  /* AF_NETLINK */
               unsigned short  nl_pad;     /* Zéro */
               pid_t           nl_pid;     /* ID de port */
               __u32           nl_groups;  /* Masque de groupes multicast */
           };

       nl_pid  est  l'adresse  unicast  du socket netlink. Elle vaut toujours zéro si la destination est dans le
       noyau. Pour un processus utilisateur, nl_pid est généralement le PID du processus  auquel  appartient  le
       socket de destination. Cependant, nl_pid identifie un socket netlink, pas un processus. Si un processus a
       plusieurs sockets netlink, nl_pid ne peut être égal au PID de ce processus que pour un socket au plus. Il
       y  a  deux  façons d'assigner nl_pid à un socket netlink. Si l'application définit nl_pid avant d'appeler
       bind(2), c'est à l'application de s'assurer que nl_pid est unique. Si l'application le définit à zéro, le
       noyau se charge de lui donner une valeur. Le noyau donne le PID au premier socket netlink ouvert  par  le
       processus et donne une valeur de nl_pid unique à chaque socket netlink créé par la suite.

       nl_groups  est un masque de bits représentant un ensemble de groupes netlink. Chaque famille netlink a un
       ensemble de 32 groupes multicast. Quand on appelle bind(2) sur le socket, le champ nl_groups de la struc‐
       ture sockaddr_nl doit contenir un masque de bits des groupes que l'on désire écouter. La valeur  par  dé‐
       faut  pour  ce champ est zéro, ce qui signifie qu'aucun groupe multicast ne sera reçu. Un socket peut en‐
       voyer un message sur n'importe quel groupe multicast en remplissant le champ nl_groups avec un masque  de
       bits des groupes visés, lors de l'appel sendmsg(2) ou lors du connect(2). Seuls les processus avec un UID
       effectif  de  zéro ou ayant la capacité CAP_NET_ADMIN peuvent envoyer ou recevoir sur un groupe multicast
       netlink. Depuis Linux 2.6.13, les messages ne peuvent être envoyés en broadcast vers  plusieurs  groupes.
       Toute  réponse  pour  un  message  reçu  sur un groupe multicast doit être renvoyée au PID émetteur et au
       groupe multicast. Certains sous-systèmes du noyau Linux peuvent en plus autoriser d'autres utilisateurs à
       envoyer des messages. Dans Linux 3.0, les groupes NETLINK_KOBJECT_UEVENT, NETLINK_GENERIC,  NETLINK_ROUTE
       et  NETLINK_SELINUX  autorisent  d'autres  utilisateurs à recevoir des messages. Aucun groupe ne permet à
       d'autres utilisateurs d'envoyer des messages.

   Options de socket
       Pour définir ou obtenir une option du socket netlink, appeler getsockopt(2) pour  lire  ou  setsockopt(2)
       pour  écrire  l’argument  d’option de niveau défini à SOL_NETLINK. À moins d’être noté autre part, optval
       est un pointeur vers un int.

       NETLINK_PKTINFO (depuis Linux 2.6.14)
              Activer les messages de contrôle nl_pktinfo pour recevoir des paquets pour obtenir  le  numéro  de
              groupe de destination étendu.

       NETLINK_ADD_MEMBERSHIP, NETLINK_DROP_MEMBERSHIP (depuis Linux 2.6.14)
              Joindre ou quitter un groupe spécifié par optval.

       NETLINK_LIST_MEMBERSHIPS (depuis Linux 4.2)
              Retrouver  tous  les  groupes  desquels un socket est membre. optval est un pointeur vers __u32 et
              optlen est la taille du tableau. Le tableau est rempli avec l’ensemble complet d’appartenances  du
              socket et la taille de tableau nécessaire est renvoyée dans optlen.

       NETLINK_BROADCAST_ERROR (depuis Linux 2.6.30)
              S'il  n'est  pas défini, netlink_broadcast() rapporte seulement les erreurs ESRCH et ignore silen‐
              cieusement les erreurs ENOBUFS.

       NETLINK_NO_ENOBUFS (depuis Linux 2.6.30)
              Cet indicateur peut être utilisé par les modules d’écoute (listener)  unicast  et  broadcast  pour
              éviter de recevoir des erreurs ENOBUFS.

       NETLINK_LISTEN_ALL_NSID (depuis Linux 4.2)
              S'il  est  défini,  ce socket recevra des notifications netlink de tous les espaces de noms réseau
              qui ont un nsid assigné dans l’espace de noms réseau où le socket a été ouvert. Le nsid est envoyé
              vers l’espace utilisateur à l’aide de données auxiliaires.

       NETLINK_CAP_ACK (depuis Linux 4.3)
              Le noyau peut échouer à allouer la place nécessaire pour le message d’acquittement  dans  l’espace
              utilisateur.  Cette  option  tronque  le contenu du message netlink originel. L’en-tête du message
              netlink est toujours inclus, aussi l’utilisateur peut estimer à partir du numéro de séquence  quel
              message a déclenché l’acquittement.

VERSIONS

       L'interface socket pour netlink est une nouveauté dans Linux 2.2.

       Linux 2.0  avait une interface netlink plus primitive, basée sur un périphérique caractère (toujours dis‐
       ponible sous forme d’option de compatibilité). Cette interface obsolète n'est pas décrite ici.

NOTES

       Il est souvent plus facile d'utiliser netlink à travers la bibliothèque libnetlink ou libnl  qu’à  l’aide
       de l'interface bas niveau du noyau.

BOGUES

       Cette page de manuel n'est pas complète.

EXEMPLES

       L'exemple suivant crée un socket netlink NETLINK_ROUTE qui écoute les groupes multicast RTMGRP_LINK (évé‐
       nements  de  création/suppression/configuration/déconfiguration d'interface réseau) et RTMGRP_IPV4_IFADDR
       (évènements d'ajout/suppression d'adresses IPv4).

           struct sockaddr_nl sa;

           memset(&sa, 0, sizeof(sa));
           sa.nl_family = AF_NETLINK;
           sa.nl_groups = RTMGRP_LINK | RTMGRP_IPV4_IFADDR;

           fd = socket(AF_NETLINK, SOCK_RAW, NETLINK_ROUTE);
           bind(fd, (struct sockaddr *) &sa, sizeof(sa));

       L'exemple suivant montre comment envoyer un message netlink au noyau  (PID 0).  Notez  que  l'application
       doit gérer les numéros de séquence des messages pour correctement prendre en compte les acquittements.

           struct nlmsghdr *nh;    /* Le nlmsghdr avec le contenu à envoyer */
           struct sockaddr_nl sa;
           struct iovec iov = { nh, nh->nlmsg_len };
           struct msghdr msg;

           msg = { &sa, sizeof(sa), &iov, 1, NULL, 0, 0 };
           memset(&sa, 0, sizeof(sa));
           sa.nl_family = AF_NETLINK;
           nh->nlmsg_pid = 0;
           nh->nlmsg_seq = ++sequence_number;
           /* Requête d’un acquittement par le noyau en définissant NLM_F_ACK */
           nh->nlmsg_flags |= NLM_F_ACK;

           sendmsg(fd, &msg, 0);

       Le dernier exemple montre comment lire un message netlink.

           int len;
           /* 8192 pour éviter la troncature sur les plateformes avec
              une taille de page > 4096 */
           struct nlmsghdr buf[8192/sizeof(struct nlmsghdr)];
           struct iovec iov = { buf, sizeof(buf) };
           struct sockaddr_nl sa;
           struct msghdr msg;
           struct nlmsghdr *nh;

           msg = { &sa, sizeof(sa), &iov, 1, NULL, 0, 0 };
           len = recvmsg(fd, &msg, 0);

           for (nh = (struct nlmsghdr *) buf; NLMSG_OK (nh, len);
                nh = NLMSG_NEXT (nh, len)) {
               /* La fin d’un message multipartie */
               if (nh->nlmsg_type == NLMSG_DONE)
                   return;

               if (nh->nlmsg_type == NLMSG_ERROR)
                   /* Réaliser une certaine gestion d’erreur */
               ...

               /* Continuer par l’analyse du contenu */
               ...
           }

VOIR AUSSI

       cmsg(3), netlink(3), capabilities(7), rtnetlink(7), sock_diag(7)

       Informations sur libnetlink

       information about libnl

       RFC 3549 « Linux Netlink as an IP Services Protocol »

TRADUCTION

       La   traduction   française   de   cette   page   de   manuel   a   été   créée   par  Christophe  Blaess
       <https://www.blaess.fr/christophe/>, Stéphan Rafin  <stephan.rafin@laposte.net>,  Thierry  Vignaud  <tvi‐
       gnaud@mandriva.com>,  François  Micaux, Alain Portal <aportal@univ-montp2.fr>, Jean-Philippe Guérard <fe‐
       vrier@tigreraye.org>, Jean-Luc Coulon (f5ibh) <jean-luc.coulon@wanadoo.fr>, Julien Cristau  <jcristau@de‐
       bian.org>,   Thomas   Huriaux   <thomas.huriaux@gmail.com>,  Nicolas  François  <nicolas.francois@centra‐
       liens.net>, Florentin Duneau <fduneau@gmail.com>, Simon Paillard <simon.paillard@resel.enst-bretagne.fr>,
       Denis Barbier <barbier@debian.org>, David Prévot <david@tilapin.org> et Jean-Paul  Guillonneau  <guillon‐
       neau.jeanpaul@free.fr>

       Cette  traduction  est  une  documentation libre ; veuillez vous reporter à la GNU General Public License
       version 3 concernant les conditions de copie et de distribution. Il n'y a aucune RESPONSABILITÉ LÉGALE.

       Si vous découvrez un bogue dans la traduction de cette page de manuel, veuillez envoyer un message à  de‐
       bian-l10n-french@lists.debian.org.

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