Provided by: manpages-fr_4.13-4_all bug

NOM

       netlink – Communication entre noyau et espace utilisateur (AF_NETLINK)

SYNOPSIS

       #include <asm/types.h>
       #include <sys/socket.h>
       #include <linux/netlink.h>

       netlink_socket = socket(AF_NETLINK, type_socket, famille_netlink);

DESCRIPTION

       Netlink  sert  à  transférer  des  informations  entre  les modules du noyau et les processus de l'espace
       utilisateur. Il consiste en une interface standard basée sur les sockets pour  les  processus  en  espace
       utilisateur  et  d'une API interne du noyau pour les modules du noyau. Cette interface du noyau n'est pas
       documentée dans cette page de manuel. Il existe  aussi  une  interface  netlink  obsolète  utilisant  les
       périphériques caractère netlink, fournie uniquement pour rétrocompatibilité et non documentée ici.

       Netlink  est  un  service  orienté  datagramme.  Les  deux  types SOCK_RAW et SOCK_DGRAM sont des valeurs
       possibles pour type_socket. Toutefois,  le  protocole  netlink  ne  distingue  pas  les  sockets  raw  et
       datagramme.

       famille_netlink  sélectionne  le  module du noyau ou le groupe netlink avec qui communiquer. Les familles
       netlink actuellement déterminées sont :

       NETLINK_ROUTE
              Réception des modifications de routage et de lien et utilisation possible pour mettre à  jour  les
              tables  de  routage (IPv4 et IPv6), les adresses IP, les paramètres de lien, les configurations de
              voisinage, les politiques d'ordonnancement, les  classes  de  trafic  et  les  classificateurs  de
              paquets (consultez rtnetlink(7)).

       NETLINK_W1 (de Linux 2.6.13 à 2.16.17)
              Messages du sous-système 1-Wire.

       NETLINK_USERSOCK
              Réservé pour les protocoles de socket dans l'espace utilisateur.

       NETLINK_FIREWALL (jusqu’à Linux 3.4 inclus)
              Transport  des paquets IPv4 de netfilter vers l’espace utilisateur. Utilisé par le module de noyau
              ip_queue. Après une longue période pendant laquelle il a été considéré comme obsolète  (en  faveur
              de la fonctionnalité plus moderne nfnetlink_queue), NETLINK_FIREWALL a été retiré dans Linux 3.5.

       NETLINK_SOCK_DIAG (depuis Linux 3.3)
              Recherche  d’informations  sur  les sockets de diverses familles de protocoles du noyau (consultez
              sock_diag(7)).

       NETLINK_INET_DIAG (depuis Linux 2.6.14)
              Synonyme obsolète pour NETLINK_SOCK_DIAG.

       NETLINK_NFLOG (jusqu’à Linux 3.16 inclus)
              Messages ULOG de netfilter/iptables.

       NETLINK_XFRM
              IPsec.

       NETLINK_SELINUX (depuis Linux 2.6.4)
              Notifications d'événements SELinux.

       NETLINK_ISCSI (depuis Linux 2.6.15)
              Open-iSCSI.

       NETLINK_AUDIT (depuis Linux 2.6.6)
              Audit.

       NETLINK_FIB_LOOKUP (depuis Linux 2.6.13)
              Accès à la recherche dans la FIB depuis l'espace utilisateur.

       NETLINK_CONNECTOR (depuis Linux 2.6.14)
              « Connector » du noyau. Pour plus d'informations, consultez Documentation/driver-api/connector.rst
              (ou /Documentation/connector/connector.* dans les noyaux 5.2 et  précédents)  dans  l’arborescence
              des sources du noyau Linux.

       NETLINK_NETFILTER (depuis Linux 2.6.14)
              Sous-système netfilter.

       NETLINK_SCSITRANSPORT (depuis Linux 2.6.19)
              Transports SCSI.

       NETLINK_RDMA (depuis Linux 3.0)
              RDMA Infiniband.

       NETLINK_IP6_FW (jusqu’à Linux 3.4 inclus)
              Transport  des  paquets  IPv6  de netfilter vers l'espace utilisateur. Utilisé par le module noyau
              ip6_queue.

       NETLINK_DNRTMSG
              Messages de routage DECnet.

       NETLINK_KOBJECT_UEVENT (depuis Linux 2.6.10)
              Messages du noyau vers l'espace utilisateur.

       NETLINK_GENERIC (depuis Linux 2.6.15)
              Famille netlink générique pour une utilisation simplifiée de netlink.

       NETLINK_CRYPTO (depuis Linux 3.2)
              Interface netlink pour obtenir des informations à propos des chiffrements enregistrés  avec  l’API
              de chiffrement du noyau et pour permettre la configuration de l’API Crypto du noyau.

       Les  messages  netlink  consistent  en  un  flux  d'octets  avec un ou plusieurs en-têtes nlmsghdr et les
       contenus associés. Le flux d'octets ne doit être  accédé  qu'à  travers  les  macros  standards  NLMSG_*.
       Consultez netlink(3) pour plus d'informations.

       Pour  les  messages  multiparties,  (plusieurs en‐têtes nlmsghdr avec contenus associés dans un même flux
       d'octets), tous les en-têtes ont l'attribut NLM_F_MULTI actif, sauf le dernier  en-tête  qui  a  le  type
       NLMSG_DONE.

       Le contenu suit chaque nlmsghdr.

           struct nlmsghdr {
               __u32 nlmsg_len;    /* Longueur du message en-tête compris. */
               __u16 nlmsg_type;   /* Type de contenu du message. */
               __u16 nlmsg_flags;  /* Attributs supplémentaires. */
               __u32 nlmsg_seq;    /* Numéro de séquence. */
               __u32 nlmsg_pid;    /* Identifiant du port émetteur. */
           };

       nlmsg_type  peut  être  l'un  des  types  standards  de message : le message NLMSG_NOOP est à ignorer, le
       message NLMSG_ERROR indique une erreur et le contenu est une structure nlmsgerr,  le  message  NLMSG_DONE
       termine un ensemble multipartie.

           struct nlmsgerr {
               int error;            /* N° d’erreur négatif ou 0 pour acquittement */
               struct nlmsghdr msg;  /* En‐tête du message causant l'erreur */
           };

       Une  famille  netlink  contient  généralement  plus  de  types  de message, consultez les pages de manuel
       appropriées, par exemple rtnetlink(7) pour NETLINK_ROUTE.
       Bits d’attribut standard dans nlmsg_flags
       ─────────────────────────────────────────────────────────────────
       NLM_F_REQUEST   À positionner pour tous les messages de requête.
       NLM_F_MULTI     Le  message  est   une   partie   d’un   message
                       multipartie terminé par NLMSG_DONE.
       NLM_F_ACK       Demander un acquittement en cas de réussite.
       NLM_F_ECHO      Répéter cette requête.
       Bits d’attribut supplémentaires pour les requêtes GET
       ───────────────────────────────────────────────────────────────────
       NLM_F_ROOT     Renvoyer toute la table plutôt qu'une seule entrée.
       NLM_F_MATCH    Renvoyer   toutes   les  entrées  correspondant  au
                      critère passé  dans  le  contenu  du  message.  Pas
                      encore implémenté.
       NLM_F_ATOMIC   Renvoyer un instantané atomique de la table.
       NLM_F_DUMP     Macro pratique, équivalente à
                      (NLM_F_ROOT|NLM_F_MATCH).

       Notez que NLM_F_ATOMIC nécessite la capacité CAP_NET_ADMIN ou un UID effectif de zéro.
       Bits d’attribut supplémentaires pour requêtes NEW
       ───────────────────────────────────────────────────────────
       NLM_F_REPLACE   Remplacer l'objet existant correspondant.
       NLM_F_EXCL      Ne pas remplacer l'objet s'il existe déjà.
       NLM_F_CREATE    Créer un objet s'il n'existe pas déjà.
       NLM_F_APPEND    Ajouter à la fin de la liste d'objets.

       nlmsg_seq  et  nlmsg_pid  sont  utilisés pour suivre les messages. nlmsg_pid montre l'origine du message.
       Remarquez qu'il n'y a pas de relation d'équivalence entre nlmsg_pid et le PID du processus si le  message
       vient d'un socket netlink. Consultez la section FORMAT D'ADRESSE pour plus d'informations.

       nlmsg_seq et nlmsg_pid sont opaques pour le noyau de netlink.

       Netlink  n'est  pas  un  protocole fiable. Il fait de son mieux pour conduire les messages à destination,
       mais peut abandonner des messages s'il n'a pas assez de mémoire ou si une  erreur  se  produit.  Pour  un
       transfert fiable, l'émetteur peut demander un acquittement au récepteur en activant l'attribut NLM_F_ACK.
       Un  acquittement  est  un  paquet NLMSG_ERROR avec le champ erreur à zéro. L'application doit envoyer des
       acquittements pour les messages elle-même. Le noyau essaye d'envoyer un message NLMSG_ERROR  pour  chaque
       paquet échoué. Le processus utilisateur doit suivre aussi cette convention.

       Cependant,  garantir  des transmissions fiables entre le noyau et l'espace utilisateur est impossible. Le
       noyau ne peut pas envoyer de message netlink si le tampon du socket est plein : le message sera abandonné
       et le noyau et le processus utilisateur n'auront pas la même information sur l'état  du  noyau.  C'est  à
       l'application  de  détecter  cette  condition  (via  l'erreur  ENOBUFS  renvoyée  par  recvmsg(2))  et de
       resynchroniser.

   Formats d'adresse
       La structure sockaddr_nl décrit un client netlink  dans  l'espace  utilisateur  ou  dans  le  noyau.  Une
       sockaddr_nl  peut  être  soit unicast (un seul destinataire) soit envoyée à des groupes multicast netlink
       (nl_groups différent de 0).

           struct sockaddr_nl {
               sa_family_t     nl_family;  /* AF_NETLINK */
               unsigned short  nl_pad;     /* Zéro */
               pid_t           nl_pid;     /* ID de port */
               __u32           nl_groups;  /* Masque de groupes multicast */
           };

       nl_pid est l'adresse unicast du socket netlink. Elle vaut toujours zéro si la  destination  est  dans  le
       noyau.  Pour  un  processus utilisateur, nl_pid est généralement le PID du processus auquel appartient le
       socket de destination. Cependant, nl_pid identifie un socket netlink, pas un processus. Si un processus a
       plusieurs sockets netlink, nl_pid ne peut être égal au PID de ce processus que pour un socket au plus. Il
       y a deux façons d'assigner nl_pid à un socket netlink. Si l'application définit  nl_pid  avant  d'appeler
       bind(2), c'est à l'application de s'assurer que nl_pid est unique. Si l'application le définit à zéro, le
       noyau  se  charge de lui donner une valeur. Le noyau donne le PID au premier socket netlink ouvert par le
       processus et donne une valeur de nl_pid unique à chaque socket netlink créé par la suite.

       nl_groups est un masque de bits représentant un ensemble de groupes netlink. Chaque famille netlink a  un
       ensemble  de  32 groupes  multicast.  Quand  on  appelle  bind(2) sur le socket, le champ nl_groups de la
       structure sockaddr_nl doit contenir un masque de bits des groupes que l'on désire écouter. La valeur  par
       défaut  pour  ce  champ  est zéro, ce qui signifie qu'aucun groupe multicast ne sera reçu. Un socket peut
       envoyer un message sur n'importe quel groupe multicast en remplissant le champ nl_groups avec  un  masque
       de  bits des groupes visés, lors de l'appel sendmsg(2) ou lors du connect(2). Seuls les processus avec un
       UID effectif de zéro ou ayant la capacité  CAP_NET_ADMIN  peuvent  envoyer  ou  recevoir  sur  un  groupe
       multicast  netlink. Depuis Linux 2.6.13, les messages ne peuvent être envoyés en broadcast vers plusieurs
       groupes. Toute réponse pour un message reçu sur un groupe multicast doit être renvoyée au PID émetteur et
       au  groupe  multicast.  Certains  sous-systèmes  du  noyau  Linux  peuvent  en  plus  autoriser  d'autres
       utilisateurs à envoyer des messages. Dans Linux 3.0, les groupes NETLINK_KOBJECT_UEVENT, NETLINK_GENERIC,
       NETLINK_ROUTE  et  NETLINK_SELINUX autorisent d'autres utilisateurs à recevoir des messages. Aucun groupe
       ne permet à d'autres utilisateurs d'envoyer des messages.

   Options de socket
       Pour définir ou obtenir une option du socket netlink, appeler getsockopt(2) pour  lire  ou  setsockopt(2)
       pour  écrire  l’argument  d’option de niveau défini à SOL_NETLINK. À moins d’être noté autre part, optval
       est un pointeur vers un int.

       NETLINK_PKTINFO (depuis Linux 2.6.14)
              Activer les messages de contrôle nl_pktinfo pour recevoir des paquets pour obtenir  le  numéro  de
              groupe de destination étendu.

       NETLINK_ADD_MEMBERSHIP, NETLINK_DROP_MEMBERSHIP (depuis Linux 2.6.14)
              Joindre ou quitter un groupe spécifié par optval.

       NETLINK_LIST_MEMBERSHIPS (depuis Linux 4.2)
              Retrouver  tous  les  groupes  desquels un socket est membre. optval est un pointeur vers __u32 et
              optlen est la taille du tableau. Le tableau est rempli avec l’ensemble complet d’appartenances  du
              socket et la taille de tableau nécessaire est renvoyée dans optlen.

       NETLINK_BROADCAST_ERROR (depuis Linux 2.6.30)
              S'il  n'est  pas  défini,  netlink_broadcast()  rapporte  seulement  les  erreurs  ESRCH et ignore
              silencieusement les erreurs ENOBUFS.

       NETLINK_NO_ENOBUFS (depuis Linux 2.6.30)
              Cet indicateur peut être utilisé par les modules d’écoute (listener)  unicast  et  broadcast  pour
              éviter de recevoir des erreurs ENOBUFS.

       NETLINK_LISTEN_ALL_NSID (depuis Linux 4.2)
              S'il  est  défini,  ce socket recevra des notifications netlink de tous les espaces de noms réseau
              qui ont un nsid assigné dans l’espace de noms réseau où le socket a été ouvert. Le nsid est envoyé
              vers l’espace utilisateur à l’aide de données auxiliaires.

       NETLINK_CAP_ACK (depuis Linux 4.2)
              Le noyau peut échouer à allouer la place nécessaire pour le message d’acquittement  dans  l’espace
              utilisateur.  Cette  option  tronque  le contenu du message netlink originel. L’en-tête du message
              netlink est toujours inclus, aussi l’utilisateur peut estimer à partir du numéro de séquence  quel
              message a déclenché l’acquittement.

VERSIONS

       L'interface socket pour netlink est une nouveauté dans Linux 2.2.

       Linux 2.0  avait  une  interface  netlink  plus  primitive, basée sur un périphérique caractère (toujours
       disponible sous forme d’option de compatibilité). Cette interface obsolète n'est pas décrite ici.

NOTES

       Il est souvent plus facile d'utiliser netlink à travers la bibliothèque libnetlink ou libnl  qu’à  l’aide
       de l'interface bas niveau du noyau.

BOGUES

       Cette page de manuel n'est pas complète.

EXEMPLES

       L'exemple  suivant  crée  un  socket  netlink  NETLINK_ROUTE qui écoute les groupes multicast RTMGRP_LINK
       (événements    de    création/suppression/configuration/déconfiguration    d'interface     réseau)     et
       RTMGRP_IPV4_IFADDR (évènements d'ajout/suppression d'adresses IPv4).

           struct sockaddr_nl sa;

           memset(&sa, 0, sizeof(sa));
           sa.nl_family = AF_NETLINK;
           sa.nl_groups = RTMGRP_LINK | RTMGRP_IPV4_IFADDR;

           fd = socket(AF_NETLINK, SOCK_RAW, NETLINK_ROUTE);
           bind(fd, (struct sockaddr *) &sa, sizeof(sa));

       L'exemple  suivant  montre  comment  envoyer un message netlink au noyau (PID 0). Notez que l'application
       doit gérer les numéros de séquence des messages pour correctement prendre en compte les acquittements.

           struct nlmsghdr *nh;    /* Le nlmsghdr avec le contenu à envoyer */
           struct sockaddr_nl sa;
           struct iovec iov = { nh, nh->nlmsg_len };
           struct msghdr msg;

           msg = { &sa, sizeof(sa), &iov, 1, NULL, 0, 0 };
           memset(&sa, 0, sizeof(sa));
           sa.nl_family = AF_NETLINK;
           nh->nlmsg_pid = 0;
           nh->nlmsg_seq = ++sequence_number;
           /* Requête d’un acquittement par le noyau en définissant NLM_F_ACK */
           nh->nlmsg_flags |= NLM_F_ACK;

           sendmsg(fd, &msg, 0);

       Le dernier exemple montre comment lire un message netlink.

           int len;
           /* 8192 pour éviter la troncature sur les plateformes avec
              une taille de page > 4096 */
           struct nlmsghdr buf[8192/sizeof(struct nlmsghdr)];
           struct iovec iov = { buf, sizeof(buf) };
           struct sockaddr_nl sa;
           struct msghdr msg;
           struct nlmsghdr *nh;

           msg = { &sa, sizeof(sa), &iov, 1, NULL, 0, 0 };
           len = recvmsg(fd, &msg, 0);

           for (nh = (struct nlmsghdr *) buf; NLMSG_OK (nh, len);
                nh = NLMSG_NEXT (nh, len)) {
               /* La fin d’un message multipartie */
               if (nh->nlmsg_type == NLMSG_DONE)
                   return;

               if (nh->nlmsg_type == NLMSG_ERROR)
                   /* Réaliser une certaine gestion d’erreur */
               ...

               /* Continuer par l’analyse du contenu */
               ...
           }

VOIR AUSSI

       cmsg(3), netlink(3), capabilities(7), rtnetlink(7), sock_diag(7)

       Informations sur libnetlink

       Informations sur libnl

       RFC 3549 « Linux Netlink as an IP Services Protocol »

COLOPHON

       Cette page fait partie de la publication 5.10 du projet man-pages Linux. Une description du projet et des
       instructions pour signaler des anomalies et la dernière version de cette page  peuvent  être  trouvées  à
       l'adresse https://www.kernel.org/doc/man-pages/.

TRADUCTION

       La   traduction   française   de   cette   page   de   manuel   a   été   créée   par  Christophe  Blaess
       <https://www.blaess.fr/christophe/>,   Stéphan   Rafin   <stephan.rafin@laposte.net>,   Thierry   Vignaud
       <tvignaud@mandriva.com>,  François  Micaux,  Alain Portal <aportal@univ-montp2.fr>, Jean-Philippe Guérard
       <fevrier@tigreraye.org>,   Jean-Luc   Coulon   (f5ibh)   <jean-luc.coulon@wanadoo.fr>,   Julien   Cristau
       <jcristau@debian.org>,      Thomas      Huriaux      <thomas.huriaux@gmail.com>,     Nicolas     François
       <nicolas.francois@centraliens.net>,    Florentin    Duneau    <fduneau@gmail.com>,     Simon     Paillard
       <simon.paillard@resel.enst-bretagne.fr>,     Denis    Barbier    <barbier@debian.org>,    David    Prévot
       <david@tilapin.org> et Jean-Paul Guillonneau <guillonneau.jeanpaul@free.fr>

       Cette traduction est une documentation libre ; veuillez vous  reporter  à  la  GNU General Public License
       version 3 concernant les conditions de copie et de distribution. Il n'y a aucune RESPONSABILITÉ LÉGALE.

       Si  vous  découvrez  un  bogue  dans la traduction de cette page de manuel, veuillez envoyer un message à
       debian-l10n-french@lists.debian.org.

Linux                                              9 juin 2020                                        NETLINK(7)